Mais le dernier mot reste certainement au maître de cérémonie, Toufic Maatouk : « C’est l’opéra le plus imprévisible chez Mozart, du point de vue écriture. Dans l’unicité de la trilogie du librettiste Da Ponte (Don Giovanni, Cosi fan tutte et Les noces de Figaro), c’est un opéra très rythmé au niveau des actions, et surtout très gracieux. Tout en soulignant les thèmes de profondeur dans la vie même. …C’est aussi universel. Comme Mozart seul sait l’être dans sa musique.